Mijn persoonlijke gids

Bezoek de kerken van de wederopbouw!

Ook voor Saint-Lô geldt dat de Tweede Wereldoorlog een aantal ruïnes heeft achtergelaten. De kerken van de streek waren vaak de meest verwoeste plekken. We nodigen je uit om deze tijdens de wederopbouw prachtig herstelde monumenten te ontdekken.

Wanneer verleden en heden samenkomen… 

Wederopbouw is een kunst op zich! 

Deze unieke monumenten werden deels of geheel herbouwd en getuigen van het enorme werk dat verzet werd tijdens de wederopbouw.  

We nodigen je uit een kijkje te nemen bij de kerken van de streek, tastbare voorbeelden van de technische, economische, maatschappelijke en culturele ontwikkeling van de naoorlogse samenleving. Talloze architecten, aardewerkers, schilders en glasblazers uit heel Frankrijk werkten mee aan de wederopbouw en inrichting van deze monumenten. 

Aujourd’hui labellisée « Patrimoine du 20e siècle », cette église au toit voûté est l’œuvre de l’architecte Yves Cochepin. Les travaux ont débuté dès 1954 jusqu’en 1956. 

Après les ravages de la guerre, l’architecte Guy Pison nous propose à travers l’église, construite entre 1955 et 1958, un exemple d’architecture moderne radicale, dans lequel le béton est utilisé dans toutes ses possibilités (armé, préfabriqué gravillonné, bouchardé…) qui offre ainsi à cet édifice le label « Patrimoine du 20e siècle ». 

Construite, entre 1952 et 1955, avec les pierres récupérées dans les ruines de l’ancienne église et sa toiture en voile de béton, cette église à la manière italienne, dont le clocher se trouve sur le côté de nef, est le fruit du travail des architectes Haguënauer, Chapaus et Simon. 

Anéantie par des bombes incendiaires en 1944, l’église Saint-Martin fût rebâtie entre 1956 et 1959, sous la direction des architectes André Martinet et Yves Maublanc.

Inaugurée en 1957, en présence du cardinal Grente, cette église de la reconstruction fût placée sous la houlette de l’architecte Pierre Sautier qui en a géré le chantier. 

Inaugurée le 11 octobre 1962, nous devons cette église originale aux architectes Melik Nafilyan et Jacques Traverse. 

Labellisée « Patrimoine du 20ème siècle », cette église est le travail de l’architecte André Martinet qui a œuvré de 1954 à 1956 à la reconstruction de cet édifice. 

Alors qu’avant sa destruction, l’église Saint-Germain se situait dans l’actuel cimetière, les architectes Guy Pison et André Martinet décident d’ériger un nouvel édifice moderne non loin de là. Les travaux s’achèvent en 1961. 

La première pierre de la reconstruction de cette église imaginée par Desouches et Chirat fût posée le 24 juin 1956. Les travaux s’achèveront en 1959. 

Inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 2015, cette église en granit apparent, que nous devons aux architectes Guy Pison et André Martinet, adopte un plan rectangulaire avec un portique triangulé, un toit à deux versants. Elle nous offre une touche traditionnelle avec sa tour-clocher latéral coiffé d’une flèche. Les travaux de construction se sont étendus de 1959 à 1967. 

Détruite lors de « l’Opération Cobra », cette église dont la première pierre fût posée le 14 juillet 1957, est bâtie à partir d’éléments préservés tels que le porche et une partie de la tour à bâtière. Aujourd’hui labellisée « Patrimoine du 20e siècle », nous devons sa reconstruction aux architectes Jacques Prioleau, Pinget et Sureau qui œuvrèrent de 1957 à 1959. 

Les travaux concernant cette église en partie détruite ont débutés en 1956 et se sont achevés en 1957 sous la direction de l’architecte Guy Belin. 

Gravement endommagée lors des bombardements, cette église fût l’objet d’une reconstruction en 1960, sous la direction de l’architecte Mélik Nafilyan, à l’exception du clocher qui fût conservé. 

Inaugurée le 20 novembre 1957, cette église aujourd’hui labellisée « Patrimoine du 20e siècle » est à l’initiative des architectes Guy Pison et Desouches. Elle nous offre un savant mélange de moderne avec son toit plat en aluminium et ses parois latérales formées par des claustras en béton armé laissant entrer la lumière à l'intérieur par des dalles de verre mais également de traditionnel avec son clocher coiffé d'un toit en bâtière. 

En grande partie détruite lors des combats de juillet 1944, seuls les murs de la nef du 12e siècle, la chapelle sud, la base du clocher du 13e siècle et le porche gothique remanié en 1659 subsistaient. L’église Saint-Rémi a bénéficié d’une reconstruction partielle, entre 1951 et 1954, sous la direction des architectes Henri Tougard et Yves Cochepin. 

Après de premiers travaux d’urgence après-guerre, l’église Notre-Dame bénéficie entre 1954 et 1958 de travaux de rénovation. Un mur « cicatrisant » en schiste vient remplacer la façade disparue sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. 

Dans cette commune située exactement au centre du département de la Manche, l’église Saint-Martin fût touchée par la guerre en 1944 et le cœur de l’église détruit fût reconstruit à l’identique entre 1952 et 1954 sous la direction de l’architecte Burckart. 

Bénéficiant d’une reconstruction supervisée par l’architecte Jacques Prioleau, entre 1952 et 1954, l’église Saint-Jean Baptiste a reçu le label « Patrimoine du 20e siècle » et l’ensemble du décor datant de la reconstruction (sculptures, tabernacles, chemin de croix…) a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 2004. 

En partie détruite en 1944, l’église Notre-Dame fût reconstruite entre 1952 à 1959 sous la direction des architectes Jacques Prioleau et Jacques Travers. 

Fortement endommagée lors de la libération, l’église du 18e siècle, de Saint-Jean Baptiste, fût restaurée sous la supervision des architectes André Martinet et Yves Maublanc. 

Cette ancienne abbaye dont le clocher s’est effondré après le bombardement de la ville de Saint-Lô, fût reconstruite sous la direction de l’architecte Marcel Mersier qui remplaça le clocher par un campanile de béton. 

Raadpleeg voor meer informatie over de wederopbouw de website van de C.A.U.E de la Manche.

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